Question: D’un poème à l’autre?
Le soleil quelques fois, amant passionné
caresse de rayons amoureux notre terre
Qui à sa chaleur tendre et attentionnée
S’abandonne d’un pôle à l’autre tout entière.
Aussi longtemps qu’avec son appétit cosmique
Elle s’empiffrera d’or et de nucléaire
La Terre connaîtra comme tout boulimique
Des indigestions comme crises ou guerres.
On ne peut invoquer la sédentarité
Pour elle qui toujours tourne autour du soleil
Comme un marathonien sans jamais s’arrêter
Et à une vitesse en fait toujours pareille.
De la graisse on en a besoin un petit peu
Mais la graisse au delà de certaines limites
Se dépose sur tous les tissus adipeux
Doù les gros bourrelets avec la cellulite.
Seul un régime aussi strict que chirurgical
Affinera pareil aux liposuccions
Notre terre avec ses surcharges pondérales
Réduisant de beaucoup sa consommation.
Ou elle finira , et est ce là son rôle
Tant elle représente une oeuvre pour le ciel
A cause de ce très mauvais cholestérol
En vrai danger de mort bizarre et essentielle.
Désolée je suis trop fatiguée je ne l’ai pas lu en entier.
j’aime pas du tout…
La Terre est si belle
et l’homme si laid
la laideur obséquieuse de l’homme
face à l’obésité de sa bétise
à choisir ?
cela me donne envie de faire un regime mais non, suis trop gourmande……et ce poème ecologico diététique est bien ….mais sieur Byron ,vous faites dans le satirique et en digne Byron ,je ne peux que vous encourager à perséverer. merci
Ode aux gros et grosses ?